Les jeux de hasards en ligne se propagent de plus en plus sur les réseaux. Avec internet, les paris et casinos en ligne sont très facile à trouver et à accéder. Beaucoup de gouvernement cependant interdisent encore la délivrance de licence pour que les établissements en ligne puissent exercer de façon légale. C’est le cas de plusieurs États de l’Union européenne.
Une décision de l’Italie pour gérer les jeux en ligne
Une règlementation très stricte des salles en lignes semble être une mesure très drastique. À cause de cela, plusieurs sites se retrouvent bloqués sans aucune issue. Cela finit par susciter des doutes quant à l’efficacité de ces mesures.
Cependant on sait que cette industrie rapporte beaucoup de recettes fiscales, et que des joueurs arrivent quand même à jouer sur des sites étrangers. Après réflexion, l’Italie revient sur sa décision et s’assouplit : il autorise un peu plus de 100 sites à être officialisés. Ainsi les casinotiers disposent d’un délai pour remplir les critères requis et faire la demande d’une licence. À l’époque, le gouvernement italien avait fixé à 200 000 euros la licence. Le but était d’enlever toute motivation chez les établissements véreux. Ainsi donc, l’autre objectif de cette démarche est aussi d’assainir et de rendre plus sûr l’environnement des jeux en ligne en Italie.
Si on prend en compte tous les établissements de jeux et de paris en lignes, il est facile de déduire que les licences à octroyer seront toutes achetées à la clôture des dépôts de dossiers. Certains des casinos onlines profitent du renouvellement de licence des opérateurs locaux. Ces derniers ont en effet proposé des partenariats avec des entreprises en lignes et de figurer sur la liste des demandeurs.
Le pays cette fois semble bien avoir fait une belle affaire avec la vente des licences, mais aussi les retombées fiscales qui va aider les caisses de l’État. Pour en savoir plus, visitez le site: https://www.luccaindiretta.it/in-azienda/2020/03/05/litalia-regola-il-mercato-dei-casino-online/167483.
Les autres pays de l’Union européenne face aux casinos en ligne
Vis-à-vis de l’action de l’Italie face aux jeux de hasard en ligne, certains pays ont adopté différentes stratégies. L’Union européenne est contre l’interdiction totale de ces salles en lignes. Voilà pourquoi l’Allemagne a fait l’objet de poursuite juridique. Les restrictions sont jugées trop sévères sur les entreprises de paris sportifs, les jeux de pokers et les casinos en ligne. Un minimum de tolérance étant requis afin qu’ils puissent exercer de façon légale.
D’autres pays ont préféré être plus modérés et plus tolérants. C’est le cas de l’Autriche qui n’appose aucune interdiction sur les casinos online. Par contre les recettes offertes par les plateformes célèbres vont directement à leurs pays d’hébergement initial et non à l’État autrichien. Pourtant les chiffres que génèrent ces établissements s’élèvent à plusieurs de milliards d’euros par an. Un grand manque à gagner pour l’Autriche. Cependant, malgré sa tolérance, le pays figure parmi ceux qui agissent de manière anti-conforme à la loi de l’UE. Une tolérance ne signifie pas légalité pour les sociétés de jeux, et c’est une des raisons du retrait de certaines entreprises renommées en Europe sur leurs marchés en lignes. Cette absence de règles favorise les pratiques douteuse et frauduleuse.
L’appel de l’Union européenne à l’établissement de lois et de règles pour les entreprises de jeux en ligne afin de sécuriser le milieu pour les joueurs.
Les jeux en ligne sont accessibles depuis n’importe quel endroit du monde du moment que l’on sait manipuler le domaine de l’informatique et de l’internet. Des restrictions sévères n’empêcheront pas un joueur de parier et miser. Une simple tolérance réduit grandement la sureté des sites visitée, et rend propices aux arnaques et autres fraudes. On peut donc imaginer que l’Italie a pris une bonne décision en régularisant le secteur.